27 décembre 2009

Les criquets utilisent leur vue pour s'orienter

Bonjour,
Je vous parle aujourd'hui d'un article que j'ai précédemment découvert dans un quotidien de Québec, puis trouvé sur le web. Il traite d'une découverte de chercheurs de l'université de Cambridge quant à l'utilisation faite de leur yeux par les criquets migrateurs dans leurs déplacements.
Je vous laisse lire la suite.
http://www.lematin.ch/flash-info/sciences-environnement/criquets-migrateurs-utilisent-vue-orienter

Fred

23 décembre 2009

Catocala unijuga


Comme je vous l'avais promis, voici le premier Catocala de mon blog.
Les noctuidés de ce genre viennent à la miellée et plus rarement à la lumière. Les individus de cette espèce apprécient particulièrement s'abreuver aux fleurs comme l'asclépiade. De jour, ils se tiennent habituellement haut sur le tronc des arbres afin d'échapper aux prédateurs, et ce malgré leur incroyable camouflage. En effet, le motifs de leurs ailes antérieures imitent à la perfection les formes de l'écorce des arbres. Son nom français est likénée rougeâtre.

Quant à elle, les larves se nourrissent de peuplier et de saule.

C'est l'espèce de Catocala ayant la plus grande période de vol. Contrairement à d'autres familles de papillons nocturnes (Tels les Saturnidés), les noctuidés se nourrissent. Cette espèce vole donc, au Québec, de juillet à octobre. D'ailleurs, c'est une des espèces les plus commune.

Son aire de répartition s'étend du Nevada et de l'Idaho au Maine, au New Jersey et à la Virginie. Elle se retrouve aussi dans toutes les provinces canadiennes.

Mon spécimen mesure 73 mm. Une amie de ma mère a trouvé son cocon dans notre parasol à la fin de juin 2008. Il a donc éclos et s'est retrouvé dans ma collection.

Votre humble serviteur.

Fred

19 décembre 2009

Actualité des fêtes

Bonjour à tous,
Premièrement, le plus important, je veux souhaiter à tous mes lecteurs et toutes mes lectrices de passer un incroyable Noël, d'avoir full cadeaux et que tous vos rêves d'amour, de santé et d'argent se réalise en 2010!
Deuxièmement, le premier sondage est terminé avec très peu de votes (3 dont le mien ;) ). Je vais ternir compte des commentaire et faire plus de recherche sur ce qui ce cache derrière l'insecte, soit son histoire, son évolution et l'origine de son nom.
Troisièmement, il semblerait que Passion Papillon, au Lac-Beauport, organise une journée familiale le 28 décembre. Je n'ai malheureusement pas plus détails.
Quatrièmement, l'atelier Jean Paquet a un nouveau site. Il est magnifique et plus à jour que l'ancien, qui était devenu désuet. http://www.atelierjeanpaquet.com/

N'hésiter pas à poster des commentaires sur ce message ou dans le livre d'or pour promouvoir vos évênements (Peu importe le pays ou la région) et vos publications. Ils se retrouveront peut-être dans mon prochain message d'actualité.

Fred

Joyeux Noël!!!!! : )

16 décembre 2009

Halysidota tesselaris


Bonjour à tous!!!
Je viens ici pour présenter, non pas un catocala qui ferait suite au texte de Denis, mais bien un arctiidae. Son nom vernaculaire est Halisidote du pommier. Suite au sondage (qui n'est d'ailleurs pas encore terminé) qui m'a démontré que vous aimiez avoir des infos sur l'origine de nom, voici ce que j'ai trouvé. tesselaris provient du latin tessela, qui signifie petit carré de pierre. Cela ferait référence au motif de mosaïque des ailes supérieures.

Il est répandu du sud du Canada jusqu'au Texas et au centre de la Floride. Ceci correspond aux trois-quarts du continent américain; ce lépidoptère est en effet absent à l'ouest des Rocheuses.

Comme une foule d'espèces de cette famille, il possède, à l'état adulte, un goût aigre et poison. Cette défense chimique indiquée habituellement par des couleurs vives telles le rouge ou le jaune provient des plantes hôtes mangées par la larve. Aucune étude concrète n'a été réalisé sur celle-ci, mais elle pourrait posséder cette caractéristique.
Les plantes hôtes de l'espèce sont les suivantes: aulne, frêne, bouleau, bleuet, châtaigne, orme, micocoulier, raisin, noisette, chêne, noyer, saule, caryer, peuplier, tilleul, érable, prunier, pommier, amelanchier. Par contre, ce n'est pas une espèce reconnue pour les dégâts qu'elle cause au arbre et divers arbustes qui l'alimentent.

Ce spécimen de 45 mm, provient lui aussi de la sablière de Pont-Rouge. Je l'ai capturé le 17 juin de l'année en cours. Il est venu à mon piège lumineux.

Fred

10 décembre 2009

Mes pièges à insectes, ou comment ce débrouiller avec les moyens du bord

Pour tous ceux qui sont intéressé à capturé des insectes facilement et presque sans efforts, ceci est pour vous!
Ce document préparé par Patrick Bonneau présente une quantité incroyable de pièges de toutes sortes. Je met par contre un bémol au niveau des insectes qu'il est possibles de capturer, car ce semble être un document français, et non québecois. Mais comme j'ai plus de lecteurs Français que Québecois, c'est merveilleux pour vous, chers cousins! :)
Lorsque je testerai certaines des techniques présentées par M. Bonneau, je vous ferai mon propre résumé.

http://www.insecte.org/photos/archives/MES_PIEGES_A_INSECTES.pdf

Fred

Merci à Jean Brodeur pour cette décopuverte.

Les Catocala

Je dois vous présenter une espèce de ce genre. Je me suis alors demandé comment introduire ce groupe incroyable. J'ai immédiatement pensé à Denis Dumoulin, représentant Montréal de l'AEAQ et webmester de site de l'organisme. Voici donc le texte qu'il m'a pondu:

Les Catocala, de la grande famille des Noctuidae, sous-famille des Catocalinae, font partie d’un type de papillon des plus évolués, grâce, entre autre, à leur tympanum sur le côté du méthatoraxe qui leur permet d’entendre les sons et même les ultrasons. Ils sont aussi pourvus de frenulums (tiges rigides de type membraneuse) qui se contracte à chaque battement d’ailes, se qui empêche les ailes inférieures de passer par-dessus les ailes supérieures durant des manœuvres aériennes de haute voltige, car ils sont capables d’effectuer de véritables vrilles telles des as du vol à bord d’un F-16. Ainsi, dès qu’ils détectent un ultrason émis par une chauve-souris, ils partent en vrille pour échapper à la bête. Même si parfois ils y perdent quelques écailles, ils survivrent, la plupart du temps, à ces attaques.

Pour les voir, on doit avoir recours à une technique d’appâtage spécifique qui s’appelle la miellée. Cette mixture est constituée de sucre, de mélasse, de bière, de vin, de vinaigre de vin, de bananes écrasées et autres pour former une substance caramélisée que l’on peut appliquer sur l’écorce des arbres. La nuit venue, les Catocala viennent s’y délecter au grand bonheur de l’entomologiste, présent pour observer le bal magnifique de ces merveilles aillées.

Les œufs sont déposés dans les orifices de l’écorces des arbres et y passent l’hiver, pour ensuite éclore au printemps et recommencer le cycle de la vie.

Merci Denis!

Fred

5 décembre 2009

Sondage

Afin de savoir ce que vous pensez de mon travail et de quelle manière je pourrais l'améliorer, j'ai créé un sondage. En fait, à chaque deux semaines, il y aura une nouvelle question. Les question est dans le menu de gauche et prend donc fin le 19 décembre, à midi.
Répondez honnêtement et en grand nombre!

Merci

Fred
 
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