Bonjour à tous!!!
Je viens ici pour présenter, non pas un catocala qui ferait suite au texte de Denis, mais bien un arctiidae. Son nom vernaculaire est Halisidote du pommier. Suite au sondage (qui n'est d'ailleurs pas encore terminé) qui m'a démontré que vous aimiez avoir des infos sur l'origine de nom, voici ce que j'ai trouvé. tesselaris provient du latin tessela, qui signifie petit carré de pierre. Cela ferait référence au motif de mosaïque des ailes supérieures.
Il est répandu du sud du Canada jusqu'au Texas et au centre de la Floride. Ceci correspond aux trois-quarts du continent américain; ce lépidoptère est en effet absent à l'ouest des Rocheuses.
Comme une foule d'espèces de cette famille, il possède, à l'état adulte, un goût aigre et poison. Cette défense chimique indiquée habituellement par des couleurs vives telles le rouge ou le jaune provient des plantes hôtes mangées par la larve. Aucune étude concrète n'a été réalisé sur celle-ci, mais elle pourrait posséder cette caractéristique.
Les plantes hôtes de l'espèce sont les suivantes: aulne, frêne, bouleau, bleuet, châtaigne, orme, micocoulier, raisin, noisette, chêne, noyer, saule, caryer, peuplier, tilleul, érable, prunier, pommier, amelanchier. Par contre, ce n'est pas une espèce reconnue pour les dégâts qu'elle cause au arbre et divers arbustes qui l'alimentent.
Ce spécimen de 45 mm, provient lui aussi de la sablière de Pont-Rouge. Je l'ai capturé le 17 juin de l'année en cours. Il est venu à mon piège lumineux.
Fred
Je viens ici pour présenter, non pas un catocala qui ferait suite au texte de Denis, mais bien un arctiidae. Son nom vernaculaire est Halisidote du pommier. Suite au sondage (qui n'est d'ailleurs pas encore terminé) qui m'a démontré que vous aimiez avoir des infos sur l'origine de nom, voici ce que j'ai trouvé. tesselaris provient du latin tessela, qui signifie petit carré de pierre. Cela ferait référence au motif de mosaïque des ailes supérieures.
Il est répandu du sud du Canada jusqu'au Texas et au centre de la Floride. Ceci correspond aux trois-quarts du continent américain; ce lépidoptère est en effet absent à l'ouest des Rocheuses.
Comme une foule d'espèces de cette famille, il possède, à l'état adulte, un goût aigre et poison. Cette défense chimique indiquée habituellement par des couleurs vives telles le rouge ou le jaune provient des plantes hôtes mangées par la larve. Aucune étude concrète n'a été réalisé sur celle-ci, mais elle pourrait posséder cette caractéristique.
Les plantes hôtes de l'espèce sont les suivantes: aulne, frêne, bouleau, bleuet, châtaigne, orme, micocoulier, raisin, noisette, chêne, noyer, saule, caryer, peuplier, tilleul, érable, prunier, pommier, amelanchier. Par contre, ce n'est pas une espèce reconnue pour les dégâts qu'elle cause au arbre et divers arbustes qui l'alimentent.
Ce spécimen de 45 mm, provient lui aussi de la sablière de Pont-Rouge. Je l'ai capturé le 17 juin de l'année en cours. Il est venu à mon piège lumineux.
Fred
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